Ayyécca 
Le Saint, Rav Èliyyahou Hayyim, Grand Rabbin de Bavèl, questionna son fils, Yossef,[1] qui avait à peine quatre ans. Pourquoi l’Éternel avait-Il demandé à Adam : « Où es-tu » ?[2] « Ayyécca » ? 
Alors que l’Éternel Sait où se trouvait Adam ? Le jeune Yossef répondit sans la moindre hésitation : C’est précisément ce que D.ieu voulait insinuer à Adam. Car « Ayyécca » est l’acronyme[3] de l’expression :[4]
Et pour le premier homme, créé des Mains mêmes de D.ieu, il suffisait d’une simple allusion, de conclure l’enfant.
[1] Rabbènou, Yossef Hayyim. Adonènou, Ha-Bén Ich Haye, p. 65.
[2] Bérèchith 3, 9. 
« Hachèm-D.ieu appela l’homme et lui dit: « Où es-tu [à essayer de te cacher] ? »
La Question de D.ieu revêt aussi un autre sens : Hachèm ne S’est pas enquis de la situation matérielle d’Adam, mais Il lui déclara : « Regarde comme tu es tombé bas ! Qu’en est-il de ta grandeur ? » Adéréth Èliyyahou, du Gaone de Vilna.
[3] n. m. sigle formé des initiales de deux mots et plus, « rachè-tèvoth » En hébreu. En langage rabbinique, « notariqone ».
[4] Je Connais Tous Les Secrets, [toutes les choses cachées]. « Les choses cachées appartiennent à l’Éternel, notre D.ieu. » [Dévarim 29, 28.]
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